Si deux individus se sont spontanément présentés dans les locaux de la CRS Autoroutière le lendemain de la course poursuite, aucun n'est le conducteur présumé de l'Audi RS3 qui roulaient à 225 km/h sur l'A43 à hauteur de Bron.
Il est minuit passé de quelques minutes le 8 novembre dernier lorsqu'une Audi RS3 est surprise à une vitesse de 225 km/h sur une portion de l'A43 limitée à 90. Malgré les injonctions des policiers, la voiture continue sa route et accélère pour semer les forces de l'ordre. Si le conducteur ne sera pas interpellé, la voiture, munie de fausses plaques d'immatriculation et non assurée, sera retrouvée plus tard stationnée à Pierre-Bénite. L'Audi RS3 a été immobilisée et saisie par décision de justice. Le lendemain de la course poursuite, deux hommes, dont un de 25 ans, se présentent aux locaux de la CRS autoroutière et l'un d'eux affirme être le conducteur de la veille. Une fois l'homme placé en garde-à-vue et auditionné, les enquêteurs pointent de nombreuses contradictions dans les récits. L'homme de 25 ans aurait agi sous l'influence du véritable conducteur, originaire de Grenoble, qui avait pour objectif d'échapper aux poursuites judiciaires et de récupérer la voiture. Tandis que l'enquête continue, les deux hommes qui se sont présentés aux CRS autoroutiers ont été libérés mais sont poursuivis pour fausses déclarations.
Le libéralisme nous enseigne un principe extrêmement simple : s'il n'y a pas de victimes, il n'y a pas de crime. Il faut donc arrêter de chercher à embêter cet excellent conducteur (puisqu'il n'a pas eu d'accident), y compris sous le prétexte de défaut d'assurance et de maquillage de plaques.Toutes ces obligations sont instituées par l'état socialo-communiste, donc sont nulles et non avenues. J'ai le droit de rouler comme je veux, où je veux, quand je veux, à la vitesse que je veux, au volant de l'Audi, de la Porsche, ou de la Mercedes qui me plaît.Et si un enfant a l'audace de vouloir repeindre ma carrosserie avec des morceaux de sa cervelle, je porterai plainte contre ses parents pour défaut de surveillance. Parents, vous êtes prévenus !