Lyon Capitale a testé pour vous le nouveau bar à bugnes dans le 1er arrondissement de Lyon.
A l'occasion de la traditionnelle fête du "mardi gras" ce 21 février, les Lyonnais ont dégusté une spécialité locale : la bugne. La pâtisserie gourmande devient alors le concept de deux amis Lyonnais, Etienne Crevat et Romain Verger, qui ont ouvert un bar à bugnes depuis le 16 février. Moelleuse ou craquante, les bugnes font l'unanimité à Lyon depuis le XVIe siècle.
Le reportage est à découvrir en vidéo sur notre TikTok.
Nappage chocolat blanc ou noir
Dans leur boutique, nichée au 42 rue Sergent Blandan, dans le 1er arrondissement, les deux Lyonnais, tout deux âgés de 35 ans, proposent de déguster des bugnes sucrées sur le pouce. Avec des bugnes plus traditionnelles, moelleuses ou croquantes, l'équipe façonne un nouveau style de bugnes, assez originales, renommée "bugnies". A partir de la forme de bugne moelleuse, ces dernières sont trempées dans un nappage au chocolat blanc ou noir puis parsemées de miettes de spéculos, de pralines, de coco, ou encore de noisettes. Les bugnes traditionnelles sont vendues en lot de trois à 3 euros, le tarif monte à 7 euros pour les bugnes revisitées. D'après les deux employées et les deux co-associés, la pâtisserie qui fait le plus fureur est celle avec les morceaux de spéculos. Dans la boutique, l'équipe se partage les missions : un dans le nappage des bugnes et l'autre au poste de vente. Bugnes est ouvert du mercredi au dimanche.
La rédaction Lyon Capitale a donc dégusté toutes les sortes de bugnes. Résultat ? Les avis sont partagés, mais la bugne moelleuse est celle qui sort du lot à l'unanimité, avec un goût marqué de fleur d'oranger. Les bugnes revisitées font moins fureur que les traditionnelles, même si, celle nappée de spéculos a un goût de reviens-y. Les bugnes nappées ajoutent un côté croustillant à la base moelleuse et tendre.
Le mono produit pour l'aspect qualitatif
Si les deux acolytes ont choisi de concevoir un mono produit, c'est bien pour "développer des compétences dans ce produit-là, de l'améliorer continuellement et d'essayer d'être sur un produit de plus en plus qualitatif", précise Romain, co-associé de Bugnes.
Romain, natif de Lyon, et Etienne, Croix-Roussien et issu d'une formation en boulangerie, justifient leur projet de créer une boutique spéciale bugnes : "nous on est Lyonnais, donc pour nous la bugne c'est quelque chose qui nous parle et c'est un produit iconique de la ville. On s'est dit qu'ouvrir un bar à bugnes était quelque chose de novateur". Alors que les bugnes sont vendues à la période du mardi gras, la boutique compte être pérenne et vendre des bugnes à l'année. Habitués du mono produit, les deux amis "depuis toujours", gèrent déjà la pizzeria Régine à Fontaines-sur-Saône, où la farine est fabriquée sur place.
il y a des potisseries innovantes qui font envie
mais alors celle là pas du tout
Bugnes revisitées ? nul besoin !!recette de ma Mémé , Farine, beurre, œufs, sucre vanillé, sel pas de fleur d'oranger ,lait , un peu, zeste de citrons rappés fin et Rhum 50° ,saupoudré de sucre glace.
la pâte on prononce bien le "â" sinon à la parisienne , patte c'est celle du chien !!! doit reposer 30 à 40 mn bain huile 180° puis déposée sur papier absorbant.
Les gones l'arrosent d'Arquebuse ! ( 'Alcool local ) et le flambe.
Une excellente recette de véritables bugnes de Monsieur Paul dans son livre de recettes ""la cuisine du marché"".!!
bugnies ??****ces dernières sont trempées dans un nappage au chocolat blanc ou noir puis parsemées de miettes de spéculos, de pralines, de coco, ou encore de noisettes. Les bugnes traditionnelles sont vendues en lot de trois à 3 euros, le tarif monte à 7 euros pour les bugnes revisitées. *** Le chocolat blanc une invention , essayez trouver des fèves de cacao blanc! le prix 3 euros les 3 soit près de 7 francs la bugne! la mère Cotivet n'est pas prête d'en acheter.
Au naturel avec un peu de sucre glacé, elle se tiennent Vendues par 3 = 3€