Interrogé ce dimanche 9 mars sur I>Télé, Gérard Collomb a répété que sa priorité restait Lyon et les Lyonnais.
Exprimer des prétentions gouvernementales en temps de campagne n'est pas une tactique qui a des chances d'aboutir pour un maire sortant. Et Gérard Collomb le sait parfaitement. Sur la chaîne d'information I>Télé, le candidat PS a donc fait savoir aux Lyonnais qu'il était toujours dévoué à leur cause : “Aujourd'hui, ce qui me passionne, c'est de réaliser des opérations concrètes dans notre ville, de développer les différents quartiers, de faire que les gens aient du plaisir à se rassembler et vivre ensemble. Pour moi il est exclu de dire aux Lyonnais “votez pour moi” et de partir ensuite à Paris.”
Pas idiot notre Maire, il ne va pas avouer à 8 jours de élections, qu'il a envie de partir à PARIS !!!!
Sûr qu'il n'est pas bête ! C'est pas lui faire un cadeau que de lui proposer de prendre les rênes d'un poste de commande du pays maintenant. Déjà qu'il n'aimait pas trop l'équipe dirigeante en place ! Il va les laisser faire ce qu'ils ont promis, même s'il ne s'est pas vraiment totalement démarqué de ces mêmes dirigeants au moment des élections présidentielles. je crois bien qu'il est malin, notre Gégé ! Faudrait qu'il change quelques idées sociales et économiques pour relever le pays,
Vu qu'il a une formation littéraire classique, il est capable de retrouver l'envie des classiques et les rendre modernes : dire tout haut que le système financier doit être rendu aux populations via les élus, redistribuer de la monnaie aux gens, abaisser considérablement taxes et impôts, relancer la politique des grands travaux, garder des fonctionnaire pour administrer le tout, et virer les psys du social et de l'éducation ! Place aux gens de bonnes intention, honnêtes et travailleurs !
qu'il commence à rembourser la monnaie en tant que sénateur, il s'est octroyé plein de droits et privilèges sur le dos de ses concitoyens (retraites cumulées, non progressivité de l'impot prélevé aux sources de chacun de ses mandats, indemnités forfaitaires non justifiables devant le fisc, voyages ou plutôt vacances pour lui et sa famille à chaque année (l'an dernier, c'était pendant 15 jours l'asie - trois pays successivement au mois de juillet) le tout au détriment des autres