Lors d'un petit déjeuner presse organisé ce matin, le préfet du Rhône est revenu sur les évènements de la nuit en marge du match Algérie-Allemagne. Il s'est félicité du bon déroulement de la soirée, bien gérée par les forces de l'ordre. Il a également répondu à la demande de démission lancée par les Identitaires : "Quand on me cherche, on me trouve"!
Jean-François Carenco, présent une partie de la nuit dans la salle de commandement de la police, a suivi de près les opérations. Le maire de Lyon, Gérard Collomb s'y est rendu également aux alentours de 22h, tout comme Marc Cimamonti, le procureur de Lyon. "La nuit a été plutôt calme par rapport aux autres nuits," indique le préfet.
Il s'est également exprimé sur la demande formulée par les Identitaires sur sa démission. "Quand on me cherche, on me trouve," a-t-il dit, visiblement agacé. Des militants d'extrême droite s'étaient rassemblés place Carnot hier soir. Visiblement, ils voulaient s'opposer à des militants d'extrême gauche. La police a procédé à une soixantaine de contrôle d'identité.
Ce Monsieur devrait répéter ce qu'il vient de formuler devant tous ces casseurs. Il se gargarise d'avoir arrêter ou bien même d'avoir contrôler ces identitaires. Franchement il n'y a pas matière à être fier ou content. J'étais à bellecour hier et ils n'étaient pas méchants. Je n'aime pas la violence. Monsieur le préfet devrait recevoir toutes les personnes qui ont subies des actes de vandalisme (voiture, vols, vitrines en miette). Il est resté caché. Avez-vous peur Monsieur le Préfet
Il a simplement fait ce que souhaitaient les identitaires, les faire passer pour des victimes et bien montrer la différence du traitement qui leur est réservé par rapport aux casseurs
Carenco se croit super intelligent mais il est tombé dans le panneau comme un nigaud
'Quand on me cherche on me trouve' : pas trop dur avec des milliers de policiers à ses ordres.