Communiqué de Christophe Boudot, président du groupe Front National au Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes.
M. Boudot vient de nous faire parvenir un droit de réponse que nous publions dans son intégralité, sans en changer une virgule.
Je précise simplement que le précédent droit de réponse, évoqué dans le présent communiqué, n’en était pas un, dans la mesure où M. Boudot écrivait, à propos du journaliste de Lyon Capitale : "Depuis les élections régionales 2015, je lui ai clairement dit que je ne répondrai plus à ses sollicitations."
Un droit de réponse pour expliquer qu’on ne souhaite pas répondre n'est pas de nature à passionner les lecteurs ni à intéresser les citoyens.
Je considère que si l’on a quelque chose à dire on le dit ; mais si on choisit de se taire, on se tait et on ne tente pas ensuite de faire porter la responsabilité de ce mutisme à d’autres.
Très attaché à la liberté d’expression, je n’ai jamais pratiqué la censure ni l’autocensure et n’ai jamais non plus donné le moindre ordre politique, même subtil, à un journaliste.
Si M. Boudot souhaite s’exprimer, nos colonnes lui sont ouvertes, aujourd’hui comme hier.
Didier Maïsto
Directeur de la Publication
de toute façon , les français ne font plus confiance aux journalistes, qui sont ceux qui font les médias. lu récemment : La confiance dans les médias s'écroule. Même si la radio reste le média le plus crédible, presque un français sur deux ne lui fait pas confiance (48%) suivi des journaux, (56% ne font pas confiance , +7 points) de la télévision (59% ne font pas confiance, +9 points) et bonnet d’âne, les médias Internet avec pas moins de 74% de français qui ne font pas confiance, +5 points. De plus, 76% des Français estiment que les journalistes sont influencés par les pressions politiques. Et 73% d'entre eux jugent que les journalistes préfèrent l'argent à la déontologie. Alors ce qu'écrit Lyon Capotale ....