Les récentes menaces de dissidence de David Kimelfeld ne passent pas auprès des instances parisiennes de La République en Marche.
Depuis hier après-midi, la tension est montée d'un cran entre Gérard Collomb et David Kimelfeld (lire ici). Alors que les deux hommes se rencontrent pour une dernière réunion à l'heure où nous écrivons ces lignes, la Commission nationale d'investiture a estimé qu'une “ligne jaune” a été franchie par le président de la métropole de Lyon, rapporte France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. Hier, David Kimelfeld a, coup sur coup, menacé de partir en dissidence s'il n'avait pas l'investiture de La République en Marche puis retiré la délégation de Fouziya Bouzerda (lire ici), présidente du Sytral et soutien de Gérard Collomb, qui a critiqué sa vision économique dans les colonnes du Progrès.
“Il a choisi de porter la responsabilité de la division. (…) Il sombre dans la politique politicienne, c'est un signal de fébrilité sans précédent", a déclaré un membre de la CNI, écrivent nos confrères. Les investitures de la CNI à Lyon sont attendues dans le mois. Selon nos informations, David Kimelfeld devrait lancer sa campagne le 16 octobre, “quoi qu'il arrive”.
c'est que la soupe payée par la métropole est bien grasse, l'un à 72 ans, l'autre 58 ans , le premier a déjà beaucoup œuvré, il serait temps de laisser la place au "jeunot"
De leur côté LaREM laisse filtrer avant même la décision que ce sera Collomb; ce sont eux qui ne jouent absolument pas le jeu, Kimelfeld a donc raison de passer outre.
Et si tout cela était de la grande musique pour récupérer des voix des contres lrem
L'un c'est le passé très bien, l'autre c'est le futur à voir !!!!