Le FN visé par des menaces de mort.
Ce mercredi matin dans les locaux de campagne du candidat FN Christophe Boudot, une menace écrite sur le mur de façade de la permanence était visible "Lyon Bleu Marine finira à la chevrotine"
Les deux responsables du tag ont été pris en flagrant délit, par les autorités policières, ils ont été interpellés et placés en garde à vue. "Nous pensons, que les responsables de cette attaque sont proches des milieux de la gauche radicale", explique Christophe Boudot. Le candidat à bien évidemment porté plainte, mais s’agace de l’inactivité de la préfecture :
"Nous avons demandé à plusieurs reprises au préfet Carenco, de mettre une caméra de surveillance, car il faut son autorisation, pour filmer la voie public mais il a refusé, nous répondant 'qui sème le vent récolte la tempête'", déplore Agnès Marion, responsable communication de la campagne FN à Lyon.
"En six mois voilà la dixième attaque perpétré contre le local, nous pensons être légitime dans cette demande, nous sommes démunis" indique Christophe Boudot.
Il ajoute qu’il tiendra "responsable le préfet, s’il arrive d’autres choses avant la fin de la campagne."
Monsieur le préfet devrait être jugé pour discrimination ; car rien que le fait d'avoir répondu 'qui sème le vent récolte la tempête' cela est discriminatoire. Il préfère payer des caméras sur le nouveau stade, aux frais des contribuables de Décines ou de Meyzieu.... Ce Monsieur n'est pas capable d'être Préfet de Lyon. Démission ....
Préfet : un gros franc-maçon super payé à ne faire que des conneries. Indigné de tout. Juste bon à lécher le cul des ultras gauchistes comme son saint patron Manuel
L'anarchie, c'est la violence. C'est laisser s'instaurer des modes d'action et des règles qui défient l'Etat de droit. Je savais Carenco comique (il a déclaré que la pollution actuelle sur Lyon provenait à 75% des feux de cheminée. C'est vrai qu'il gèle aujourd'hui à pierre fendre et que les Lyonnais s'activent autour de leur âtre...) et aujourd'hui , il se revendique 'anar'. Triste République. Je combats le FN avec des arguments, pas avec des bâtons qui serviront à me faire battre