Pour lutter contre les incivilités en Presqu’île de Lyon, Jean-Yves Sécheresse a annoncé lundi lors du conseil municipal qu’il avait demandé à la métropole de Lyon “l’installation de bornes pour protéger les riverains”.
Depuis plusieurs mois, les habitants de la Presqu'île de Lyon se sont rassemblés sous le nom du collectif “Presqu'île en colère” pour dénoncer les incivilités nocturnes, et notamment les rodéos, qui ont lieu dans les artères principales du centre-ville de Lyon entre Bellecour et les pentes de la Croix-Rousse. Questionné sur le sujet en conseil municipal ce lundi lors du débat sur la végétalisation du centre-ville, Jean-Yves Sécheresse a déclaré qu'il avait “demandé à la métropole de Lyon la mise en place de bornes pour protéger ce secteur vulnérable”. Ces bornes rétractables sont selon lui “le moyen le plus utile pour protéger les riverains”.
Des fermetures de route ont eu lieu depuis plusieurs semaines les soirs de week-end. L'adjoint en charge de la sécurité a détaillé le nombre d'opérations menées depuis le 1er janvier. “Il y a eu 27 opérations nocturnes organisées par la police municipale avec 18 fonctionnaires en moyenne par opération. Ces efforts extrêmement importants ont eu lieu notamment les vendredi et samedi. En tout, nous avons contrôlé 700 véhicules, distribué 395 verbalisations, 71 PV pour nuisances sonores et nous avons procédé à 17 immobilisations de véhicules”, a-t-il détaillé.
De leur côté, les membres du collectif réuni dans un groupe Facebook qui compte plus de 2000 membres ont organisé une opération “draps blancs aux fenêtres”, pour interpeller Gérard Collomb le maire de Lyon qui ne les a pas reçus pour le moment.
Piéger dans Nîmes par ce dispositif j'ai dois mon salut à un employé de terrasse de bistrot, m’étant aventuré par erreur dans la zone contrôlée. Il faut impérativement installer un dispositif d'appel pour les "égarés" afin qu'ils puissent en sortir.
moi-même (je ne sais plus où) j'ai failli un jour être piégé par une telle arme