Elle ne passera pas dans le Rhône et dans la Métropole de Lyon. Une décision que reproche aux écologistes leurs opposants.
La flamme olympique aura réussi à incendier la vie politique locale. “La décision de ne pas inclure Lyon parmi les villes hôtes des événements olympiques suggère une démarche (…) marquée par un sectarisme qui prive notre communauté de participer pleinement à un moment historique de fierté et de célébration collective”, ont ainsi regretté David Kimelfeld et Georges Képénékian, opposants centristes et anciens patrons de la Ville et de la Métropole. Pierre Oliver leur a emboîté le pas : “On ne peut qu’en vouloir aux écologistes de priver les Lyonnais de cette fête populaire et fédératrice.”
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