Qualifiée de "Kmère rose" par le Figaro magazine sorti ce vendredi, la porte-parole du gouvernement et ministre du Droit des femmes a réagi lors du point presse hebdomadaire du conseil des ministres.
L'édition du Figaro Magazine, datée de ce vendredi 14 février, consacre un long article à Najat Vallaud-Belkacem. La porte-parole du gouvernement y est qualifiée de "khmère rose" en référence à une citation d'Hervé Mariton, député UMP de la Drôme, opposé aux visions de la ministre sur la famille et le mariage pour tous.
"Tout ce qui est excessif est insignifiant"
Interrogé sur le sujet par un journaliste du Lab d'Europe 1 lors du point presse suivant le conseil des ministres, la ministre du Droit des femmes a répondu plus souriante que jamais. "Tout ce qui est excessif est insignifiant", a-t-elle dit, s'excusant de se "répéter souvent", "mais c'est ce que m'inspire souvent ce magazine", a-t-elle justifié.
"Vivement que ce magazine revienne à ses sujets de prédilection: où acheter son champagne? Où déguster le meilleur caviar? Où aller skier?", a-t-elle ironisé, provoquant le rire de quelques journalistes. "C'est totalement incongru", a-t-elle conclu, précisant que son commentaire aurait été le même "concernant une autre personnalité politique".
Le figaro est un journal qui écrit la vérité depuis un siècle ,madame Vallaud sera complétement oubliée d'ici un an.....
'Le figaro est un journal qui écrit la vérité depuis un siècle', 'populiste'ignare et donc comique !
@kaoetic Tiens ton langage ma poule , une faute de frappe de un siècle pourrait te couter une belle fessée en public...
Et quel est le sens de ta dernière élucubration, populiste ? Marrant, si j'avais omis la virgule, ça aurait donné un deuxième sens à la question...
'Populiste' y fait comme y peut ! Il ne lui reste plus qu'à faire des castagnettes ...
Le Figaro est un cas intéressant de schizophrénie : d'un côté, des leçons quotidiennes d'ultralibéralisme et de réduction des dépenses publiques. De l'autre, 18 millions d'euros de subventions par an. Sans parler de M. Dassault, son propriétaire, qui a récemment touché 1 milliard d'euros de fonds publics sans contrepartie pour le développement d'un avion dont il n'a pas été fichu de vendre un seul exemplaire en 10 ans.