Homme de conviction, il a renoncé dés 2002 à l'Assemblée nationale au nom du non-cumul, alors que ses concurrents au PS, Collomb ou Queyranne en tête, ont au contraire accumulé toutes les fonctions qui pouvaient asseoir leur pouvoir. Un peu rancunier, il a évincé ceux qui au PS avaient eu le tort de s'opposer à lui, Lilian Zanchi et Bernard Rivalta en tête. Un échec le mettrait de fait à la retraite, sans "mandat de secours". Une victoire renforcerait la légitimité de ce fidèle de Ségolène Royal.
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Villeurbanne, Jean-Paul Bret (PS) : quitte ou double
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