"Le visage défait du directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn s'affiche encore à la une des journaux du monde entier. Particulièrement sévère, la presse anglo-saxonne met en lumière la responsabilité de la France dans ce scandale, "fascinée par ses séducteurs politiques", et de ses lois défendant la vie privée."