« Il faut éviter de créer un précédent, estime Florence Ollivet-Courtois. Si la décision doit être appliquée, la justice ordonnera désormais l’euthanasie de tout éléphant en contact avec un autre animal contaminé, ce qui pourrait être dramatique pour cette espèce menacée. » Les deux éléphantes laisseraient alors leur nom dans la jurisprudence du code rural.