Jean-Marie Le Pen a déclaré lundi ne pas beaucoup s'intéresser à l'affaire des quotas de binationaux chez les Bleus, tout en distinguant au sein de l'équipe de France "(son) compatriote Gourcuff" de ceux "qui jouaient avec lui". Jean-Marie Le Pen a concédé qu'il ne connaissait "pas la composition actuelle" de l'équipe de France, enchaînant aussitôt : "Je sais qu'il y a mon compatriote Gourcuff, ce dont je me félicite, encore que sa présence n'ait pas toujours été tolérée semble-t-il par ses compatriotes, plutôt les gens qui jouaient avec lui. Il y avait peut-être derrière cela aussi quelques relents de racisme anti-blanc", a-t-il conclu.
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Votre titre est volontairement ambigüe.La phrase prise dans son ensemble montre bien que toute l'équipe de France a droit au terme 'compatriotes', même la bande à Ribéry qui ne pouvaient pas blairer Gourcuff.Or en employant le verbe 'distinguer' dans votre titre, on a l'impression que Le Pen établie une différence entre Gourcuff qui serait son compatriote, et d'autres membres de l'équipe de France, qui ne le seraient pas.Ce n'est pas très honnête.