L’ex-commissaire de la PJ, libre depuis une semaine, s’installe à Toul dans une nouvelle vie, près de ses racines. Il a perdu sept kilos mais la voix est posée, le ton intact. "J’espère pouvoir démontrer que je n’ai pas trahi plus de 30 ans de carrière", répète-t-il, comme il l’a dit à ses juges. Les télévisions, les photographes, ont déjà cherché à le pister : "Ils sont à la porte, je suis harcelé, je décline, j’espère retrouver vite la tranquillité" dit l’ancien numéro 2 de la PJ de Lyon.