"En 2007, lors de la dernière présidentielle, on en trouvait partout. Partout, en l'occurrence, cela signifie qu'il y en avait dans tous les camps, notamment dans l'entourage des deux finalistes. Cherchez le maçon ! Malgré la tradition de secret que cultivent toutes les obédiences, ce n'est pas très compliqué. Ségolène Royal avaient les siens, issus des baronnies roses. Gérard Collomb, le Lyonnais, Patrick Mennucci, le Marseillais, ainsi que François Rebsamen, le Dijonnais, qui n'en est plus depuis longtemps mais qui a gardé le contact avec tout ce que la politique et la haute administration comptent de "frangins".
Nicolas Sarkozy n'était pas en reste. De Brice Hortefeux à Claude Guéant en passant par Xavier Bertrand, les maçons affichés et autres friendly étaient au cœur de son équipe de campagne."