L'OL a été battu à domicile par Nice (1-2) samedi après-midi à l'occasion de la 30e journée de Ligue 1. Les Lyonnais abandonnent leur place de leader au Paris SG, qui prend les commandes du championnat pour la première fois de la saison.
Privé de Bedimo (suspendu), Bisevac (blessé), Umtiti (suspendu) et d’Alexandre Lacazette (suspendu), l’OL était contraint de faire autrement. Faire aussi bien sans ses titulaires habituels. Pour cette réception de Nice, la défense lyonnaise était donc composée du duo Rose – Koné en charnière centrale épaulé par les deux latéraux Jallet et Dabo. Au sein de l'attaque, le jeune Clinton Njie était préféré à Mohamed Yattara. Sans grande surprise, la tâche était trop ardue. La marche trop haute.
Privés de ses titulaires, la marche était trop haute
Devant une forte assistance, Lyon rentre mal dans son match. Enfin, surtout, les Niçois, bien en place, empêchent les Lyonnais de développer leur jeu. Lors du premier acte, les contacts sont rudes, l’OL ne parvient pas à faire la différence. Fort logiquement, Nice prend l’avantage grâce à une belle retournée acrobatique signée Carlos Eduardo (0-1, 23e). Lyon refait surface en seconde période avec un penalty transformé par Maxime Gonalons (57e). La bande à Hubert Fournier reprend confiance mais ne parvient pas à faire la différence. Limitée, l’équipe lyonnaise rate tout. Et c’est Nice qui bénéfice d’une grossière faute de Koné pour prendre le dessus. Eysseric trompe Lopes sur penalty, à contre-pied (1-2, 86e). A dix contre onze durant une demi-heure, Lyon ne reviendra pas. Et perd gros avec cette défaite… La deuxième de la saison au stade de Gerland.
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ça doit être franchement JOUISSIF pour le manager de NICE, maudit du PEROLAS Bravo les AIGLONS ! vous avez été E-XEM-PLAIRES !
L'équipe des prédateurs, s'est prise une rouste 'exemplaire', que dis-je 'emblématique' et pour le moins pas 'structurante' du tout. Ils ont subi une correction, une humiliation, une déroute, une volée pas volée...ETC, je connais mal le langage du foot, mais je n'en suis pas loin. Que dit Jean Mimi, ben quoi c'est un jeu, on gagne on perd! Pas de quoi pleurer, d'ailleurs je me marre!