La jeune supportrice belge, Axelle Despiegelaere, était devenue l'un des phénomènes du mondial. Repérée dans les tribunes par les photographes, elle avait toutes les cartes en main pour réussir une carrière de mannequin ou du moins médiatique. Un bad buzz en a décidé autrement.
La morale de cette histoire nous rappelle qu'il faut toujours faire attention aux photographies que l'on poste sur les réseaux sociaux. Supportrice des Belges lors de la Coupe du Monde, la jeune Axelle Despiegelaere s’était rendue au Brésil pour soutenir son équipe. Rapidement, elle se fait remarquer par les photographes et devient une star du web. Une page Facebook non officielle est créée recevant plus de 200 000 mentions j'aime. La machine s'emballe. Axelle Despiegelaere devient un phénomène, au point que certains médias affirment que la marque L'Oréal veut en faire l'une de ses égéries (chose que dément l'Oréal chez nos confrères du soir.be). Contrat ou pas, la marque de cosmétique réalise une vidéo mettant en scène Axelle Despiegelaere et surfe sur le succès avec plus de 1,9 million de vues.
Bad buzz à cause d'une photo compromettante
Mais le buzz de l'été s'est transformé en bad buzz en l'espace d'un seul message posté sur Twitter. En effet, Aly Weisman, journaliste américaine pour le Business Insider a interpellé L'Oréal via le réseau social en postant une photographie d'Axelle Despiegelaere posant avec un fusil et un cadavre d'oryx. Le cliché passe mal, surtout aux États-Unis où une autre jeune blonde s'était fait remarquer en publiant plusieurs photos d'elle avec des animaux morts lors de parties de chasse.
L'Oréal ne veut plus travailler avec elle
Le conte de fée se transforme alors en cauchemar pour Axelle Despiegelaere. Les messages commentaires se sont multipliés. La supportrice a bien tenté de sauver les meubles avec quelques messages visant à désamorcer la crise, rappelant que la photo datait d'un an, mais il était déjà trop tard. Selon un article du journal anglais independent.co.uk, L'Oréal ne collaborera pas à nouveau avec cette égérie d'un jour. Axelle Despiegelaere devrait rapidement retomber dans l'anonymat, préférant désormais terminer ses études.