Alltime10s vient de poster sur YouTube une vidéo compilant les dix pires consoles de jeux vidéo de l'histoire. Qui se souvient de l'Apple Pippin, du LaserActive ou bien encore de l'Action Max ? Pas grand monde en France, ces consoles ont souvent été vendues uniquement aux États-Unis et n'ont jamais traversé l'Atlantique.
La vidéo est en anglais, mais nous vous proposons une traduction sous celle-ci :
10 : Apple Pippin (1996)
Une console de jeu, un navigateur Internet et un lecteur multimédia, la Pippin était bridée par son modem lent. A 600 dollars, elle était chère et sa bibliothèque de jeux et de logiciels était limitée.
9 : LaserActive (1993)
Premièrement, un lecteur laserdisc coûtait 980 dollars. Il était possible d'acheter des "add-ons" pour jouer avec des cartouches. Les laserdiscs sont rapidement devenus obsolètes et ont été arrêtés en 1994.
8 : Action Max (1987)
La seule façon de contrôler la console était de passer par un pistolet et il fallait également posséder un lecteur VHS. Le nombre de jeux était limité, seulement cinq ont été commercialisés.
7 : Philips CD-i (1991)
Lecteur interactif avec des jeux éducatifs et des logiciels d'amélioration personnelle, la CD-i était grosse en taille. Elle souffrait de graphismes et de jeux pauvres et fut arrêtée en 1996.
6 : 3DO Interactiv Multiplayer (1993)
Vendue 700 dollars, la 3DO était chère et n'avait qu'un seul port manette. Les jeux façon films interactifs n'ont pas intéressé les joueurs. Elle fut arrêtée en 1996.
5 : Sega 32X (1994)
Cet "add-on" a été fabriqué pour prolonger la vie de la Megadrive. La sortie de la Sega Saturn six mois plus tard a découragé les développeurs qui ont arrêté de faire des jeux pour la 32X.
4 : Atari Jaguar (1993)
Vendue comme la première console 32-bit, elle fut la dernière machine fabriquée par Atari. À cause du manque de jeux ainsi qu'une manette difficile à utiliser avec ses quinze boutons, la console ne se s'est vendue qu'à 125 000 exemplaires.
3 : Gizmondo (2005)
Sa commercialisation fut accompagnée d'une immense campagne marketing, mais la Gizmondo avait une petite librairie de jeux. Elle fut arrêtée après un an, la banqueroute de son constructeur Tiger Telematics arriva peu de temps après.
2 : Game.com (1997)
La première console portable tactile souffrait de jeux aux qualités graphiques variables. La connexion Internet nécessitait un modem et ne proposait qu'un navigateur uniquement basé sur du texte.
1 : Virtual Boy (1995)
Inconfortable à utiliser, elle causait une fatigue oculaire et des douleurs à la nuque. Elle ne proposait pas de la vraie 3D puisque les jeux étaient uniquement affichés en rouge. La Virtual Boy fut arrêtée un an plus tard.