Depuis la révolution du Jasmin, la Tunisie se heurte à l'apprentissage, parfois difficile, de la démocratie. Dernier exemple en date le 6 février, le meurtre de Chokri Belaïd, opposant de gauche a poussé la Tunisie dans une grave crise politique. L'invitée de Talk chaud, Saïda Douki Dedieu, professeur émérite de psychiatrie à l'université de Tunis et personnalité engagée, nous révèle ses doutes. Installée à Lyon, elle craint de ne plus pouvoir aller en Tunisie.